Son père, Ahmed, est décédé d’une crise cardiaque alors que Mahrez n’avait que 15 ans.
Déjà ambitieux, Mahrez pense que cette perte lui a donné encore plus envie de réussir dans le football.
Dans un nouveau documentaire de City Studios diffusé aujourd’hui à 18 heures (FR) sur CITY+ et Recast intitulé : The Riyad Mahrez Story, il révèle : « Mon père jouait à un niveau amateur mais c’était un grand joueur. »
« Quand j’étais plus jeune, je l’ai vu jouer, c’était un très bon joueur. »
« Quand nous jouions ensemble ou quand il m’entraînait, je voyais qu’il avait beaucoup de qualités et que j’avais des qualités similaires. »
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« Il m’a toujours poussé. Il était aussi dur concernant l’école. Quand ça n’allait pas bien à l’école, comme la plupart du temps, il essayait de me punir en ne me laissant pas jouer au football. Il était dur. »
« Jusqu’à ce qu’il décède. J’avais 15 ans. Juste avant sa mort, il ne pouvait plus venir voir les matchs. Il ne pouvait plus venir aux matchs et ça m’a fait mal. »
« Quand il est mort, j’ai eu ce déclic et je me suis dit que je devais le faire pour lui. »
Mahrez admet que faire carrière en tant que footballeur professionnel ne consistait pas seulement à réaliser son ambition de toujours.
Il s’agissait également d’aider sa mère Halima, aujourd’hui veuve.
Il ajoute : « Quand il est décédé, personne n’était plus là pour aider ma mère. »
« Il ne faut pas mentir. Nous vivions dans un HLM, c’était difficile.
« Bien sûr, il y avait pire que nous. Il n’y avait que mon frère et moi - je savais que j’étais bon en football et que je pouvais faire quelque chose de ce talent. »
« J’étais vraiment convaincu. Alors je me suis lancé. »