Même si les Skyblues ont toujours deux points de retard sur les Gunners, les hommes de Guardiola ont deux matchs de retard et 7 encore à jouer.
Avant la rencontre, le coach aurait préféré être à la place d’Arsenal – mais en sachant que le destin est maintenant entre ses mains, il ne veut plus échanger de place.
Quand la question lui a été posée, s’il préférait être à la place d’Arsenal ou de City, il a répondu : « Totalement à ma place. J’adorerais avoir deux matchs d’avance et six points d’avance. »
« Cela dépend de nous. Jusqu’à aujourd’hui, je préférais la situation d’Arsenal, parce que s’ils gagnaient, cela dépend d’eux. Alors que maintenant, nous avons le destin entre nos mains. »
« J’ai le sentiment que les trois prochains matchs vont être déterminants. »
« Fulham vient de la deuxième division et ils ont réalisé une saison incroyable. »
« Nous jouons à domicile face à Leeds et West Ham. Nous nous sentons à l’aise avec nos supporters à la maison. »
« Les trois prochains matchs seront importants. »
« Le plus important, c’est que nous avons le destin entre nos mains. Quand tu arrives en fin de saison, c’est crucial. »
« Nous avons encore 7 matchs à jouer. »
Le patron de City a également avoué qu’il a revu la tactique avant le match retour face aux Gunners.
« Aujourd’hui, c’était comme à l’Emirates. », a-t-il dit.
« Là-bas, Arsenal était meilleur que nous. Nous avons gagné. Nous devions nous adapter. »
« Là-bas, nous avons joué avec de longs ballons pour Erling. »
« Aujourd’hui, nous étions plus patients. Il a gagné les seconds ballons. Il a été le maître du jeu. »
« Kevin était décisif. Il y avait moins de temps pour jouer ce genre de ballon. Les Gunners défendaient individuellement tout en étant agressif. »
« Quand nous arrivons à trouver Kevin dans la profondeur, il est inarrêtable. Jack et Bernardo ont saisi le bon moment pour les punir, mais Kevin m’a dit qu’il avait une gêne au niveau des jambes, donc j’ai procédé au changement. »
« Je ne sous-estime pas Arsenal une seule seconde. Je sais à quel point ils sont forts. J’ai beaucoup de respect pour ce qu’ils ont accompli. »
« Je préfère me dire qu’ils n’étaient pas au sommet de leur forme parce que nous étions très bons. »
« Je préfère analyser le match sans dire qu’ils n’étaient pas très bons, mais que nous étions vraiment forts. »
« Si nous jouions tout le temps comme ça, nous serions une équipe très compétitive, mais il existe de nombreuses équipes fortes dans le monde. »
« D’avoir cette mentalité est ma plus grande satisfaction en tant que coach. »
« Bien sûr que nous voulons gagner, mais leur attitude m’impressionne parce que je sais à quel point c’est difficile. »
