Riyad Mahrez estime que chacun de ses coéquipiers a apporté une contribution cruciale à notre victoire 2-0 face au Paris Saint-Germain.

Le doublé de l’Algérien a permis à City de remporter une victoire méritée à l’Etihad Stadium et de se qualifier pour une première finale de la Ligue des champions.

Malgré une victoire confortable (4-1), les hommes de Pep Guardiola ont dû s’accrocher, travailler dur et contribuer chacun à une excellente défense.

Et Mahrez a insisté sur le fait que c’est cette qualité collective qui leur a permis de se qualifier pour la finale d’Istanbul à la fin du mois.

“Quand on joue une demi-finale de la Ligue des champions, il faut être solide, tout le monde doit contribuer défensivement et c’est ce que nous avons fait”, a-t-il déclaré.

“Nous avons été très solides aujourd’hui, nous n’avons pas concédé beaucoup d’occasion et c’est pour cela que nous sommes en finale”.

Avec notre avance de 2-1 à l’aller, City savait que le PSG devrait pousser vers l’avant à la recherche de buts. 

Dans cette optique, il n’est pas surprenant que nos deux buts sous les lumières de l’Etihad aient été la conclusion de deux contre-attaques dévastatrices exécutées avec une efficacité impitoyable.

Mais ce qui a peut-être suscité quelques interrogations, c’est le ballon qu’Ederson a envoyé de l’intérieur de sa propre surface à Oleksandr Zinchenko, qui a été à l’origine du premier but.

Mahrez, cependant, n’a pas été surpris le moins du monde par la contribution offensive de notre gardien, insistant sur le fait que c’est quelque chose qui est souvent pratiqué sur le terrain d’entraînement.

Il a plaisanté : “Bien sûr, nous savons qu’il est capable de mettre le ballon dans l’autre but !”

“C’est quelque chose sur lequel nous travaillons tout le temps et aujourd’hui ça a bien marché.”

“Je ne pense pas que c’était le plan de jeu mais ils devaient nous attaquer, peut-être que parfois nous étions un peu plus profonds et quand ils perdaient le ballon, nous étions bons en contre.”

“C’est ce qui explique les deux buts et nous étions heureux.”